Luminothérapie au travail

Nous passons 35 heures, chaque semaine, sur notre lieu de travail. Bureau, entrepôt, magasin… lorsque nous travaillons en intérieur, la lumière est rarement suffisante et de bonne qualité, entre les mois d’Octobre et Avril, lorsque nous ne profitons plus de la lumière naturelle. Par ailleurs, nombre d’entre nous travaillons dans des locaux mal exposés, voir fermés. Mais des solutions existent pour nous apporter une lumière de qualité, où que nous soyons !

La luminothérapie au bureau : c’est facile !

Pour profiter de la lumière du soleil, à tout moment de l’année, lorsque vous travaillez dans un bureau, plusieurs solutions très efficaces s’offrent à vous :

Les ampoules de luminothérapie

Ces ampoules à douilles classiques (E27 ou B22) s’installent sur n’importe quelle lampe. Elles délivrent une lumière dont la qualité s’approche de celle du soleil d’été, mais leur puissance est comparable à celle des ampoules classiques. Ce sont donc des ampoules que vous pouvez utiliser toute la journée, à la place de vos ampoules ordinaires. Outre une belle lumière qui soulagera vos yeux, elles vous procureront dynamisme et vitalité.

Les lampes de luminothérapie

Pour obtenir un effet « luminothérapie » plus intense, qui puisse même avoir un effet thérapeutique sur une dépression saisonnière (ou chronique), il est conseillé d’opter pour une lampe de luminothérapie. Il existe de nombreux modèles susceptibles de convenir à votre organisation :

luminothérapie au travailLes lampes de luminothérapie à poser sur le bureau : comme la lampe Arabica ou Brightspark, qui peuvent se poser sur votre bureau et vous éclairer directement, ou encore la lampe de bureau Lumie Desk, dont vous pourrez faire varier l’intensité, de manière à l’utiliser en lampe de bureau classique (avec bonne qualité de lumière du jour) lorsque vous aurez terminé votre séance de luminothérapie.

Les Lampes de luminothérapie « collective », pour profiter à plusieurs de séances de lumière du jour. Ces lampes, comme la Mesa Mega, sont suffisamment grandes pour être posées sur une table de réunion, un bureau de travail en équipe, ou au sol. Jusqu’à 4 personnes peuvent alors se ternir à proximité et profiter des bienfaits de la luminothérapie.

La luminothérapie dans un entrepôt, un studio ou un magasin : des solutions existent !

Les grandes lampes de luminothérapie

Pour équiper un local en lampes de luminothérapie, privilégiez les lampes de luminothérapie plafonnier ou murales. Elles peuvent éclairer une pièce entière, ce qui permet à ses occupants de profiter des bienfaits de la luminothérapie, et procure une lumière agréable à l’ensemble du local.

La lampe Jasmina, qui peut être installée au mur comme au plafond, est particulièrement adaptée à cet usage.

La luminothérapie qui vous suit : luminette

Enfin, si vous êtes amené à bouger sans cesse dans votre travail, tournez-vous vers la Luminette, une lampe de luminothérapie portative se porte comme des lunettes, pour vous permettre d’effectuer votre séance où que vous soyez.

Le confort de travail, l’étude de l’espace alloué aux salariés dans leurs taches quotidiennes. Voici des paramètres longtemps mis de coté qui, aujourd’hui, sont étudiés de près. « Armoires colorées en acier vert ou orange, bureaux sombres et mouchetés avec postes multiplans, dossiers papier empilés à classer… les bureaux des années 80 se devaient d’être grands pour accueillir tous les éléments qui composaient l’espace de travail » explique Céline Galoffre sur le site BatiActu.

L’environnement de travail doit s’adapter à l’évolution des métiers et de la technologie qui y est associée. Les années 90 ont vu la poussée des sociétés de services, l’escalade de l’informatique… Sont alors apparus les meubles dédiés à ces stations de travail.

Un bon environnement de travail est bon pour l’activité

Un équipement et un environnement de travail optimisés en fonction des besoins du processus de travail et maintenus en bon état entraînent une productivité plus élevée, une meilleure qualité et moins de risques en matière de santé et de sécurité; Voila ce qui ressort des différentes études menées par l’Agence Européenne pour la Santé et la Sécurité au travail.

L’importance d’un bon éclairage au poste de travail

Beaucoup de personnes souffrant de maux de tête, d’étourdissement ou de troubles de le vue négligent leur confort visuel. Or l’œil est l’organe le plus sollicité lorsque vous travaillez devant un écran. Quelques conseils de base vous éviteront de mauvaises surprises :

  • Évitez de placer votre écran contre une source lumineuse de couleur vive
  • Ne placez pas votre écran à contre-jour sous une fenêtre ensoleillée.
  • Travaillez avec des lumières au minimum tamisée, jamais éteintes.

Si vous souhaitez appliquer les bienfaits de la luminothérapie sur votre poste de travail. il est recommandé d’équiper les luminaires d’ampoules de luminothérapie. Vu le temps que vous passez au bureau, il est primordial d’avoir une lumière saine, naturelle. La lumière issue de ces ampoules imite le spectre du soleil et restitue ainsi les bons UV, ceux qui agiront positivement sur l’humeur.

Voici une liste d’ampoules de luminothérapie :

Pour bien lire à l’écran, quelques règles

En effet, la lumière de l’écran n’est pas suffisante pour lire sans « forcer » sur ses yeux. D’ailleurs en cas de trouble de la vue, ne forcez pas : clignez des yeux et changez de focale : regardez loin droit devant vous à au moins cinq mètres. C’est un réflexe à prendre qui devrait être pratiqué régulièrement pour reposer les yeux.

En cas de lecture intensive à l’écran, il est conseillé d’adopter une police de caractère d’au moins 4 mm (12 points) avec sérifs : en effet les « pattes » à l’extrémité des lettres de ces polices guident l’œil sur la ligne de texte.

Les nouveaux environnements de travail seront plus sensoriels

Colorimétrie, luminothérapie, sensorimétrie… les bureaux du futur seront simples et adaptés aux besoins de chacun.

« Les entreprises se dotent de plus en plus d’espaces de relaxation, de massage, de petits salons. Elles se doivent de fidéliser leurs salariés« , explique Fabrice Traversaz, sociologue au CNRS.

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